Que faire pour se sentir plus à l'aise avec la surveillance de mon enfant pendant qu'il est chez un ami ?
Bonjour, Je me demandais si d'autres parents avaient des astuces ou des conseils pour gérer l'inquiétude quand nos enfants sont chez des amis. J'ai toujours un peu de mal à me détendre, surtout quand c'est la première fois qu'il va chez cette personne. Est-ce qu'il y a des questions spécifiques que vous posez aux parents avant de laisser votre enfant ? Ou peut-être des choses à observer quand on va déposer l'enfant pour se rassurer ? Je suis ouverte à toutes vos idées.
Commentaires (16)
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Moi, ce que je fais, c'est que je demande toujours aux parents si des adultes seront présents pendant toute la durée de la visite. Et aussi, discrètement, j'essaie de voir si l'environnement me semble sécurisant pour un enfant : genre, produits dangereux hors de portée, fenêtres sécurisées... Des petites choses comme ça, ça me rassure. Après, c'est sûr, on ne peut pas tout contrôler, mais ça aide !
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Merci Escaladier, c'est vrai que ces petites vérifications peuvent aider à se sentir plus sereine. Je vais essayer d'appliquer ça la prochaine fois.
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Le principal, c'est que ton enfant se sente bien et te raconte sa journée après. Si tu vois des signaux d'alerte, là, tu peux creuser.
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C'est clair que le feeling de l'enfant est super important. D'ailleurs, ça me fait penser, j'ai vu une étude passer sur l'importance d'en parler après même quand tout s'est bien passé, pour ancrer les expériences positives... Bref ! Oui, si ton enfant est content et que tu n'as pas de raison objective de douter, essaie de te détendre et de profiter de ton temps libre !
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Si tu veux vraiment te rassurer, tu peux proposer aux parents d'organiser un premier rendez-vous chez toi. Comme ça, tu observes l'interaction entre les enfants dans un environnement que tu connais bien. Ça peut te donner une idée de la dynamique et te permettre de poser des questions plus facilement après.
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Je suis d'accord avec mélodie6, une première rencontre à la maison, c'est une excellente idée. J'imagine que c'est un peu comme quand on introduit un nouvel animal de compagnie, on observe comment il interagit avec les autres membres de la famille avant de le laisser seul. Bon, bien sûr, là on parle d'enfants, mais l'idée d'observation est similaire. Cela dit, l'idée de BonesChinois39 est bonne, demandez toujours à votre enfant ce qu'il a fait et comment il l'a vécu.
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L'idée de DrClaudineHermoza27 est pas mal, organiser une rencontre chez soi, ça permet de jauger. Moi, je suis plutôt du genre à faire confiance, mais c'est vrai que ça peut aider certains parents à être plus à l'aise. Après, faut voir l'âge de l'enfant aussi. Si on parle d'un gamin qui entre en sixième, comme le suggèrent les données, c'est une autre paire de manches. On est plus dans une phase d'émancipation, où le téléphone devient un "ritedepassage". Et là, la surveillance, faut la manier avec des pincettes, parce qu'on risque de braquer l'ado plus qu'autre chose. Les données parlent de parents qui installent des traceurs GPS ou qui écoutent les conversations téléphoniques de leurs enfants... C'est une intrusion énorme ! Perso, je trouve ça flippant. On parle d'honnêteté intellectuelle, de ne pas habituer l'enfant à être "fliqué". Je suis totalement d'accord. Mieux vaut prévenir que guérir, mais il faut trouver le juste milieu. Et puis, faut pas se leurrer, les jeunes sont malins. Les données le disent, ils trouvent toujours des moyens de contourner les contrôles intrusifs. Alors, à quoi bon se prendre la tête ? Si l'enfant a envie de faire une bêtise, il la fera, surveillance ou pas. Autant miser sur la communication et la confiance, non ? C'est mon côté infirmier qui parle, je suppose, mais je crois que le dialogue est toujours la meilleure solution.
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Je comprends ton point de vue Escaladier, et c'est vrai que la confiance et la communication sont super importantes... mais je pense qu'il y a une marge entre fliquer son enfant et s'assurer de sa sécurité 😅. C'est un peu comme dire "siunpatientveutfumer,ilfumeraquandmême", oui, mais on est là aussi pour l'éduquer et le protéger, non ? 🤔 Surtout que les données montrent aussi que les jeunes sont influençables, et parfois ils ont besoin d'un cadre, même s'ils ne le montrent pas. 😉
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C'est exactement ça Léa28. Moi, je crois qu'il faut surtout se rappeler qu'on est les parents, pas des potes. La confiance, c'est bien, mais ça empêche pas de rester vigilent, surtout au début. Après, bien sûr, faut adapter selon l'âge et la maturité de l'enfant. Mais lâcher complètement la bride, c'est pas forcément rendre service.
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Bon, si je résume, on est partis de l'inquiétude des parents quand les enfants sont gardés, avec des propositions comme vérifier discrètement la sécurité des lieux ou organiser une première rencontre à la maison. Puis ça a glissé vers la question de la surveillance des ados, le juste milieu entre confiance et vigilance, et l'importance de pas les "fliquer".
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Oui, BonesChinois39, c'est un bon résumé. On part d'une inquiétude légitime et on finit par aborder des questions plus larges sur l'éducation et la confiance. C'est souvent comme ça sur les forums, non ? 😄
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Clairement, Léa28, on dérive vite vers des sujets plus vastes, mais c'est pas plus mal. L'idée, c'est d'aider Aetherys55 à gérer son angoisse, et y a pas de solution miracle. Faut prendre en compte plein de facteurs, et chaque situation est différente. Ce qui marche pour l'un ne marchera pas forcément pour l'autre.
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Carrément BonesChinois39, c'est le principe des forums en fait ! On pose une question et on repart avec 10 pistes de réflexion. Et puis, souvent, le simple fait de pouvoir en parler, ça aide déjà pas mal à relativiser. Après, Aetherys55, c'est à toi de faire le tri et de voir ce qui te parle le plus.
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Melodie6 a raison, pouvoir en parler, ça aide déjà pas mal. Perso, je trouve que l'approche d'Escaladier avec la petite inspection discrète, c'est pas mal pour se rassurer sans être trop intrusif. Après, oui, faut faire le tri et voir ce qui te convient le plus, Aetherys55. 😉
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Je suis d'accord avec BonesChinois39 et Melodie6, l'essentiel est qu'Aetherys55 trouve ce qui lui convient. Mais je pense qu'il est important de souligner un point qui ressort des données : la distinction entre la surveillance des jeunes enfants et celle des adolescents. Comme le suggère Escaladier, il est vrai qu'avec les ados, la question de la confiance et de l'autonomie devient primordiale. Les données soulignent que l'entrée en sixième marque un rite de passage, une étape vers l'émancipation. Utiliser des traceurs GPS ou écouter leurs conversations téléphoniques peut être perçu comme une intrusion et nuire à la relation de confiance. Les données mettent en garde contre le risque d'habituer les enfants à être "fliqués", ce qui pourrait avoir des conséquences négatives sur leur développement et leur honnêteté intellectuelle. Cela dit, il ne s'agit pas de nier les risques potentiels auxquels les adolescents sont exposés, notamment avec l'utilisation des téléphones portables et des réseaux sociaux. Comme le soulignent les données, il est important de trouver un juste milieu entre protection et intimité, en évitant d'être "tropproche" (ce qui peut être perçu comme une invasion) ou "troplointain" (ce qui peut donner l'impression d'un manque de soutien). Une approche possible, selon les données, consiste à instaurer un "contrôleparentallégitime", par exemple en utilisant des systèmes de verrouillage sur l'ordinateur familial pour protéger les adolescents contre les contenus inappropriés. Cependant, il est crucial de communiquer ouvertement avec son enfant et d'expliquer les raisons de ces mesures. Les données soulignent également que les jeunes sont souvent très habiles pour contourner les contrôles intrusifs, ce qui rend d'autant plus important de privilégier le dialogue et la confiance.
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Yes, DrClaudineHermoza27, analyse pertinente et nuancée !
Aetherys55
le 27 Janvier 2025